Type constructeur :
-
M.E.C. :
30/12/2015
Énergie :
Essence
Kilomètres :
2045 km
Places :
2
Caractéristiques :
Capteurs de Parking Ar. et Av./Etriersde couleur jaune/Habillage carbone, zone cond. et volant/Int. bicolore, Alcantara Nero/Nero/Rosso Corsa/Habillage carbone/zone cond. et volant/Int. bicolore/Alcantara Nero/ABS/Alarme/Antidémarrage électronique/AP/Clim automatique bi-zones/Compte tours/DA/ESP/OB/Verrouillage centralisé des portes/Vitres avant électriques
Véhicule Neuf / TVA Récupérable La Spider est la version décapotable du coupé 458 Italia qui collectionne prix et louanges depuis ses débuts comme modèle 2010. Elle devient aussi la première voiture à moteur central coiffée d'un toit rigide rétractable. Ses devancières chez Ferrari avaient toujours été couronnées de toits souples, y compris la F430 qui l'a précédée sur l'arbre généalogique de ce constructeur de légende. Le plus étonnant est de découvrir que le toit rigide de la 458 Spider est plus léger que la capote souple de la F430 Spider de 25 kilos. Il faut dire qu'il est en aluminium comme le reste de la 458 Spider, plus lourde que le coupé de seulement 50 kg alors que l'embonpoint de la F430 Spider était de 70 kg. La conception du toit s'est amorcée en 2004, en parallèle avec le développement de la California qui devint la première Ferrari à toit rigide rétractable en 2009. Rien de plus agréable que de rouler au grand air. Pour prolonger le plaisir lorsque la température fraîchit ou tout simplement pour rouler sereinement à grande vitesse, le Spider est doté, à l'arrière des sièges, d'une petite vitre électrique tenant lieu de filet anti-turbulences. L'important toutefois, est qu'une fois calé au fond d'un baquet bien enveloppant, la position ajustée au millimètre, on se sent comme chez soi. Avec une envie : appuyer sur le bouton du démarreur. Car, pour l'ambiance, tout y est. De l'énorme compte-tours à fond jaune en position centrale à l'affichage digital de la plupart des paramètres de conduite, en passant, bien sûr, par le volant, digne d'une F1. En plus du fameux manettino, ce volant intègre en effet les commandes des clignotants, des essuie-glaces, des phares et de l'avertisseur, ce qui n'est finalement pas si pratique que cela. On l'oublie vite. Malgré son tempérament résolument sportif, ce Spider soigne le confort de ses occupants et fait des efforts louables pour satisfaire leur goût du luxe. Cela donne une présentation quelque peu hétéroclite, avec un épais cuir surpiqué qui recouvre la plupart des surfaces, une planche de bord au dessin un peu torturé et une finition qui, à l'image de quelques vis apparentes sur la console centrale, peut encore progresser. La Spider a été dessinée chez Pininfarina et son style est pur Ferrari. Il y a quelque chose de l'Enzo dans son profil quand le toit est en place et de l'arrière aussi. Je vois aussi la 206 et les fabuleuses P3 et P4 dans ses flancs lisses et arrondis. Même la 246, la 308 et ses suivantes dans les parois effilées qui encadrent la lunette arrière. Elle est en bonne compagnie. La mécanique est tout aussi noble. Le moteur est le même V8 à double arbre à cames en tête et injection directe de 4,5 litres que le coupé. Ses 570 chevaux à 9 000 tr/min sont un record de puissance spécifique à près de 127 chevaux par litre. Le couple est de 398 lb-pi à 6 000 tr/min et il est transmis aux roues arrière par une boîte de vitesses à 7 rapports avec double embrayage robotisé fabriquée par Getrag et programmée par Ferrari. Il y a trois boutons ronds sur la console pour le mode automatique, la marche arrière et le mode « départ-canon ». Appuyez sur le troisième et Ferrari promet le 0-100 km/h en moins de 3,4 secondes comme le coupé, malgré les kilos en plus. La boîte est à peu près parfaite. Elle passe les rapports en douceur en traversant un village italien à 40 km/h ou vous plaque le dos au fond du siège à chaque fois que vous tirez sur la manette en fibre de carbone à droite du volant quand l'aiguille touche 9 000 tr/min sur le grand cadran jaune droit devant. Les changements sont précis, secs, instantanés. En rétrogradant aussi. Le beau plaisir.
Véhicule Neuf / TVA Récupérable La Spider est la version décapotable du coupé 458 Italia qui collectionne prix et louanges depuis ses débuts comme modèle 2010. Elle devient aussi la première voiture à moteur central coiffée d'un toit rigide rétractable. Ses devancières chez Ferrari avaient toujours été couronnées de toits souples, y compris la F430 qui l'a précédée sur l'arbre généalogique de ce constructeur de légende. Le plus étonnant est de découvrir que le toit rigide de la 458 Spider est plus léger que la capote souple de la F430 Spider de 25 kilos. Il faut dire qu'il est en aluminium comme le reste de la 458 Spider, plus lourde que le coupé de seulement 50 kg alors que l'embonpoint de la F430 Spider était de 70 kg. La conception du toit s'est amorcée en 2004, en parallèle avec le développement de la California qui devint la première Ferrari à toit rigide rétractable en 2009. Rien de plus agréable que de rouler au grand air. Pour prolonger le plaisir lorsque la température fraîchit ou tout simplement pour rouler sereinement à grande vitesse, le Spider est doté, à l'arrière des sièges, d'une petite vitre électrique tenant lieu de filet anti-turbulences. L'important toutefois, est qu'une fois calé au fond d'un baquet bien enveloppant, la position ajustée au millimètre, on se sent comme chez soi. Avec une envie : appuyer sur le bouton du démarreur. Car, pour l'ambiance, tout y est. De l'énorme compte-tours à fond jaune en position centrale à l'affichage digital de la plupart des paramètres de conduite, en passant, bien sûr, par le volant, digne d'une F1. En plus du fameux manettino, ce volant intègre en effet les commandes des clignotants, des essuie-glaces, des phares et de l'avertisseur, ce qui n'est finalement pas si pratique que cela. On l'oublie vite. Malgré son tempérament résolument sportif, ce Spider soigne le confort de ses occupants et fait des efforts louables pour satisfaire leur goût du luxe. Cela donne une présentation quelque peu hétéroclite, avec un épais cuir surpiqué qui recouvre la plupart des surfaces, une planche de bord au dessin un peu torturé et une finition qui, à l'image de quelques vis apparentes sur la console centrale, peut encore progresser. La Spider a été dessinée chez Pininfarina et son style est pur Ferrari. Il y a quelque chose de l'Enzo dans son profil quand le toit est en place et de l'arrière aussi. Je vois aussi la 206 et les fabuleuses P3 et P4 dans ses flancs lisses et arrondis. Même la 246, la 308 et ses suivantes dans les parois effilées qui encadrent la lunette arrière. Elle est en bonne compagnie. La mécanique est tout aussi noble. Le moteur est le même V8 à double arbre à cames en tête et injection directe de 4,5 litres que le coupé. Ses 570 chevaux à 9 000 tr/min sont un record de puissance spécifique à près de 127 chevaux par litre. Le couple est de 398 lb-pi à 6 000 tr/min et il est transmis aux roues arrière par une boîte de vitesses à 7 rapports avec double embrayage robotisé fabriquée par Getrag et programmée par Ferrari. Il y a trois boutons ronds sur la console pour le mode automatique, la marche arrière et le mode « départ-canon ». Appuyez sur le troisième et Ferrari promet le 0-100 km/h en moins de 3,4 secondes comme le coupé, malgré les kilos en plus. La boîte est à peu près parfaite. Elle passe les rapports en douceur en traversant un village italien à 40 km/h ou vous plaque le dos au fond du siège à chaque fois que vous tirez sur la manette en fibre de carbone à droite du volant quand l'aiguille touche 9 000 tr/min sur le grand cadran jaune droit devant. Les changements sont précis, secs, instantanés. En rétrogradant aussi. Le beau plaisir.
237850 €